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Bienvenue à Vallée-Jonction!

Située à environ 65 kilomètres de Québec, Vallée-Jonction, avec son patrimoine bâti, compte parmi les municipalités les plus pittoresques de la région de Chaudière-Appalaches. Ce village est localisé entre des montagnes peu élevées qui forment la vallée où sillonne la rivière Chaudière. La municipalité est au carrefour de la route 173 (Kennedy) et de la route 112 et est située à proximité de l’autoroute 73 (Robert-Cliche).

 

Le dynamisme et la volonté de faire de ses citoyens ne sont plus à prouver. Une brochette d’industries, de commerces, de restauration et d’activités tant sportives que culturelles démontrent l’enthousiasme déployé afin de faire évoluer la municipalité et ainsi créer des emplois pour accueillir de nouvelles familles. La réalisation d’un édifice multifonctionnel abritant les bureaux municipaux, une bibliothèque, le service des loisirs ainsi qu’un gymnase/salles de réception est, encore une fois, une preuve de la grande volonté de bien desservir la population et d’accueillir des gens de partout.

Histoire et patrimoine

Ce fut d’abord le « Trou »…C’est dans le « Trou-d’la-Bisson », situé aux limites de Vallée-Jonction et de Sainte-Marie, là où le chemin National (aujourd’hui route du Président-Kennedy) traverse la rivière Bélair (ou Hamanne) que s’amorce l’histoire de notre municipalité. Cet endroit, dont le nom est emprunté à une certaine Madame Bisson qui dirigeait un petit hôtel, ni très coté, ni très huppé, dans lequel elle faisait le commerce de la « bagosse », devient, vers 1881, un carrefour très important.

 

Au tronçon routier principal, s’ajoute une route secondaire, la route Perron, desservant les villages plus au nord de Frampton. De plus, aux quelques résidences familiales, s’ajoutent deux moulins et trois hôtels permettant ainsi d’accueillir les voyageurs frais débarqués du train dont la ligne de chemin de fer passait tout près.

La Paroisse de l’Enfant-Jésus

C’est en 1898 que se déroulent les procédures pour l’érection canonique de la paroisse. Celles-ci se terminent le 10 novembre 1898. L’érection civile de la paroisse a eu lieu le 9 mars 1900. La paroisse compte alors 450 âmes.

 

Comme il s’agit de la dernière paroisse à naître sur les rives de la rivière Chaudière, Mgr Elzéar-Alexandre Taschereau, qui avait une très grande dévotion à la Sainte Famille, décide de nommer cette paroisse, située entre Sainte-Marie, Saint-Joseph et Saints-Anges, L’Enfant-Jésus. C’est à l’abbé Cléophas Picher que revint la tâche d’organiser la paroisse de l’Enfant-Jésus. Ce qu’il débute dès janvier 1898 avec le projet de construction d’une église.

 

La construction de l’église s’achève le 18 décembre de la même année. Dès lors, on travaille à la construction d’un presbytère qui sera finalement occupé à l’hiver 1899. Durant l’année 1900, la paroisse met en place un corps de marguilliers qui veilleront, conjointement avec M. le curé, à la bonne administration des biens matériels. Le cimetière, quant à lui, est béni en novembre 1909.

La municipalité de la Paroisse de l’Enfant-Jésus

Le premier conseil municipal est formé du maire, M. Thomas Poulin et de cinq conseillers, MM H. Turmel, Jos. Cloutier, Jos. Labbé, N. Couture et Jos. Poulin. Le secrétaire-trésorier est M. A.-A. Avard. À cette époque, les avis publics sont lus à haute voix après la messe. La première priorité des élus municipaux est la construction et l’entretien de routes et de ponts (système alors désuet ou inexistant). Ainsi, les premières routes et rues de la municipalité seraient : la route Jacob, le chemin Royal, la route J.-B. Cliche, le rang Bord de l’eau, le chemin de l’Écore, etc.

 

En décembre 1917, la maison école devient le premier immeuble à avoir l’électricité. C’est à compter d’avril 1921 que l’installation de lumières électriques se fait dans les rues du village (et seulement à des endroits stratégiques). À partir de ce moment, les demandes d’éclairage au sein du village se succèdent. En 1924, la municipalité se sépare en deux et sont créées la municipalité de la paroisse et la municipalité du village. Malgré la division en deux municipalités, les priorités demeurent les mêmes : les routes, les services, les déchets, la construction, l’eau et les égouts ainsi que les taxes.

 

Dans les années 1980, malgré la bonne situation économique des deux municipalités, ces dernières constatent qu’elles ne peuvent plus œuvrer parallèlement et travaillent donc de concert pour la réalisation de certains projets. Ce n’est qu’à la fin des années 1980, que les deux municipalités fusionnent pour devenir Vallée-Jonction.

Gentilé, logo et armoirie

Un gentilé est la dénomination des habitants par rapport au lieu où ils habitent. Les habitants de Vallée-Jonction sont appelés Valléens, Valléennes

Notre emblème

Les couleurs

L’azur représente la paix intérieure nécessaire pour atteindre la fidélité.

L’or connote la prospérité.

Le vert représente l’agriculture florissante et l’espérance d’abondantes récoltes.

Le rouge représente la fête de l’Enfant-Jésus qui coïncide avec celle de Noël.

Les symboles

Les deux épées d’argent posées en sautoir et accompagnées de quatre étoiles du même sont tirées des Armoiries de la Seigneurie Taschereau et évoquent « les hommes d’épée » de cette famille et leurs hauts faits d’armes

Les roues mécaniques dentées de sinople rappellent les diverses industries qui ont fourni de l’emploi à Vallée-Jonction et aux paroisses avoisinantes.

Le lion rampant d’argent lampassé et allumé de gueules est tiré des Armoiries de la Seigneurie de la Gorgendière et représente l’anoblissement du seigneur de la Gorgendière.

L’étoile d’or est à l’honneur de la paroisse de l’Enfant-Jésus (Sainte-Famille paroissiale Sainte-Marie, au Nord, l’Enfant-Jésus au centre et Saint-Joseph au Sud).

Notre identité visuelle

Les couleurs

Les bleus représentent l’intégrité, la stabilité, la confiance, la sécurité, l’eau et le ciel.

Évoque le développement, la prospérité, la santé, la nature, la terre et les montagnes.

Illustre l’aspect humain, l’action, l’énergie, l’enthousiasme, la chaleur, le soleil, la récolte.

Les symboles

Reproduit la lettre V du nom de la municipalité, Vallée. Représente la vallée, la rivière entre les montagnes, par sa forme et sa couleur.

En y ajoutant un cercle dans le V, on y symbolise l’humain, bras vers le haut, enthousiaste et le soleil sur la rivière. Jonction entre les éléments de la nature, l’eau et la lumière. Figuration de la connexion entre l’humain et la nature.

Reproduit de la lettre J du nom de la municipalité, Jonction, lorsqu’on pivote et renverse l’élément. Représente la vallée, les montagnes entourant la rivière, par sa forme et sa couleur.

En y ajoutant un cercle dans le J et le vallon, on y symbolise l’humain, bras vers le bas, prêt à tendre la main et le soleil sur la montagne. Jonction entre les éléments de la nature, les terres et la lumière.
Figuration de la connexion entre l’humain et la nature.

La combinaison des éléments portrait la vallée dans son ensemble. L’écart entre les deux formes met en évidence la réflexion derrière la vocation « Là où tout se rencontre », en représentant la jonction entre les éléments naturels sur lesquels la municipalité est posée.

En vue d’ensemble, on peut comprendre toutes les significations. On remarque la vallée avec sa rivière et ses montagnes ainsi que le soleil (jonction naturelle) et on aperçoit deux humains (jonction sociale). Le résultat final portrait la relation entre les gens et la nature.

Notre devise

LABOR, FIDELITAS, ROBUR se traduit par LABEUR, FIDÉLITÉ, FORCE et exprime l’idéal de travail, de loyauté et de courage que les citoyen(ne)s de Vallée-Jonction poursuivent.

Galerie photos

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